Toutes ont commencé par une page blanche …
- Rue de l’Entre-deux mondes
- Le film des événements
- Quelle couleur a la brume à Sidi Bel Abbès ?
- Ligne 3 – Direction Simonis
- Trouver chaussure à son pied
Logé tout au fond d’une cour, dans une rue pendue qui fait la transition entre deux quartiers de la ville, un petit restaurant un peu particulier.
La vie semble y suspendre son rythme habituel : elle offre un ralenti qui permet à chacun de savourer l’endroit tout autant que les plats qu’on y sert.
À l’Entre deux mondes, les rencontres insolites débouchent parfois sur des scènes loufoques comme l’organisations des funérailles d’un atelier, mais aussi la naissance de belles amitiés.
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Alors qu’il flâne paisiblement à la terrasse de ce petit café en attendant que Coline le rejoigne, une scène insolite se déroule à quelques mètres de lui. Elle va l’entrainer inexorablement dans un étrange jeu de miroirs. N’est-il alors qu’un simple témoin de la vie des autres ou face à sa propre histoire ?
Mais au fond, l’histoire de chacun d’entre nous n’est-elle pas toujours un petit peu celle des autres ?
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Quelle couleur a la brume à Sidi Bel Abbès
Venu pour s’inscrire à la Sorbonne, un jeune Algérien croise la route d’une jeune fille Norvégienne elle aussi candidate. Leur rencontre les amène à confronter deux perceptions bien différentes du monde où ils se trouvent. La couleur de la brume serait-elle plus dans l’âme que nulle part ailleurs ?
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Avec son mètre soixante-deux, sa coupe à la garçonne et sa frimousse renfrognée, Solène n’avait pas vocation à se trouver au centre d’un récit comme celui qui va suivre : elle était trop ordinaire, trop quelconque. Ses amis la surnommaient Solo, peut-être parce qu’en réalité, elle avait peu d’amis.
Sa scolarité fut ponctuée d’échecs et de redoublements. Elle avait fini par considérer comme naturel le fait de voir ses condisciples passer dans la classe supérieure alors qu’elle-même devrait faire un round de plus, une année de plus pour obtenir un petit rien de plus, avant de franchir le seuil de la classe suivante.
Ainsi, à l’âge de 18 ans, elle en était encore à user ses culottes, ses jupes ou ses espoirs d’un monde meilleur sur les bancs d’une école en classe de quatrième.
Aujourd’hui, elle n’est plus qu’à quelques navettes de bus ou de métro de ses vingt ans. Elle rêve d’air frais, elle rêve du droit à ne pas ranger sa veste au porte-manteaux en rentrant au logis, du droit d’être autre chose que la suite inexorable de la vie de sa mère. Bref, elle rêve de ce dont nous avons tous rêvé un jour ou l’autre : commencer sa vie, la commencer vraiment !
En sortant du bus 71 à la Porte de Namur et sans trop savoir où aller, Solène s’est laissé aspirer par l’escalier mécanique de la station. Face au choix entre deux directions, elle a opté pour la Ligne 2 – direction SIMONIS qui l’emmenerait ce jour-là vers un nouveau destin.
L’épouse de Théophile l’a quitté sans avoir rien à lui reprocher. Il s’en étonne, mais ne s’arrête pas à son chagrin: très vite, il s’organise pour mener sa vie de nouveau célibataire. De ses devoirs domestique surgit alors une nouvelle passion et son cortège de petites manies.
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L’affaire des boîtes aux lettres
Loufoque, farfelue, invraisemblable: l’auteur à prit le pli de jouer avec la lettre pour en faire une étonnante intrigue postale: mise en boîte assurée !
Temporairement indisponible en raison d’un mouvement de grève qui affecte la distribution du courrier